Rapport du 13/11/33

Après un long voyage qui a duré deux longues semaines, à la limite d'une troisième, nous avons enfin atteint les côtes de Tanaris. Le voyage fût long et pénible, entre les terribles tempêtes, les zones de grand calme et les nerfs à vif de l'équipage, la situation devenait critique mais notre salut était arrivé, enfin, nous le croyons.
Un représentant du Cartel Gentepression n'a pas perdu son temps pour quérir notre argent, la taxe habituelle, et pour en plus nous annoncer que nous ne pourrons dormir dans la ville, pour une raison obscure. Pour en rajouter, il nous a envoyé mourir dans un campement à quelques kilomètres de la ville gobeline, dans un campement abandonné entouré d'une mer de sable où se terre mille et un monstres qui n'attendent qu'une chose : Pouvoir nous becter.
Aucune présence d'eau, et presque autant de nourriture, nous sommes loin de tout ce qui veut dire que nous allons devoir nous réapprovisionner auprès des gobelins quand le manque se fera sentir, encore de l'or foutu en l'air, qu'Elle les brûles tous ces Indignes.
Vîvement que les négociations commencent, cet endroit ne m'inspire aucunement, pas même les plages et les lagons bleu azur.

Général de division Vladimir Stroganov